ÒÎÐ 5 ñòàòåé: Ìåòîäè÷åñêèå ïîäõîäû ê àíàëèçó ôèíàíñîâîãî ñîñòîÿíèÿ ïðåäïðèÿòèÿ Ïðîáëåìà ïåðèîäèçàöèè ðóññêîé ëèòåðàòóðû ÕÕ âåêà. Êðàòêàÿ õàðàêòåðèñòèêà âòîðîé ïîëîâèíû ÕÕ âåêà Õàðàêòåðèñòèêà øëèôîâàëüíûõ êðóãîâ è åå ìàðêèðîâêà Ñëóæåáíûå ÷àñòè ðå÷è. Ïðåäëîã. Ñîþç. ×àñòèöû ÊÀÒÅÃÎÐÈÈ:
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La formation de la stylistique françaiseLa naissance de la stylistique en tant que discipline autonome de la philologie française est étroitement associée au nom de Charles Bally. Dans ses ouvrages de 1905 et 1909 le savant genevois, disciple de Ferdinand de Saussure, jette les fondements d’une stylistique conçue comme une discipline linguistique et qui n’a rien à voir ni avec la critique littéraire ni avec la rhétorique. Elle s’appuie sur les théories du langage de la fin du XIXème et du début du XXème siècle, en particulier sur celle de F. de Saussure et constitue la base de ce que nous appelons aujourd’hui la branche linguistique de la stylistique. La langue est l’ensemble des moyens d’expression dont on dispose pour mettre en forme l’énoncé. Le style comme un aspect de la langue résulte du choix qu’on fait dans ces moyens d’expression, suivant le domaine de la vie et les conditions dans lesquelles se réalise la communication. La langue nationale n’existe que sous la forme d’un de ses styles: la distinction entre les styles se manifeste non seulement par l’emploi de vocabulaires différents mais aussi par l’utilisation des formes grammaticales différentes, la prononciation même varie selon le style. Le style comme une forme remplit dans l’œuvre littéraire beaucoup de fonctions: premièrement il organise la langue de telle façon qu’elle remplit la fonction pratique de l’énoncé de l’expression du contenu subjectif; deuxièmement – le style détermine le type de la forme extérieure du sujet de l’œuvre littéraire; et troisièmement il remplit la fonction de l’influence subjective et spirituelle de l’émetteur sur le récepteur et dans ce cas-là le style remplit la fonction régissante. Tous ces moments forment un système intègre de la langue qu’on détermine comme un style. Chacun de ces styles présente un système résultant du choix des faits d’expression. Ce système est perçu comme tel par les sujets parlants ce qui limite la liberté du choix. Les individus parlants se soumettent consciemment aux normes du choix suivant les circonstances et le but de l’énoncé. Prenons deux exemples: 1.Ce matin j’ai reçu ta bonne et longue lettre tant désirée. Elle m’a remué jusqu’aux entrailles. 2.Nous avons l’honneur de vous accuser la réception de votre lettre du 15 courant. Dans la première lettre nous observons la liberté du choix des mots et des locutions, dans deuxième lettre nous observons le ton officiel de la lettre commerciale, avec sa précision et ses formules toutes faites: nous avons l’honneur, accuser la réception. Le choix des moyens d’expression est fait non seulement d’après la conscience qu’on a des normes propres aux différents styles de la langue, mais aussi d’après la conscience des mêmes normes que nous supposons chez l’auditeur de l’énoncé. Les styles sont ainsi des phénomènes d’ordre linguistique et social. Le style comme une forme est à l’opposé du contenu, qui est une catégorie subjective. Cela veut dire que l’activité stylistique dépend du développement de la culture spirituelle et matérielle de telle ou telle époque. Il faut souligner que le style est propre non seulement à la langue, à l’oeuvre littéraire, mais aussi au caractère de la vie de l’homme à ses attitudes envers les gens etc. Le style langagier reflète telle ou telle époque historique dans les formes des œuvres verbales (orales). Dans la langue d’une œuvre littéraire est fixée l’intégrité pratique et spirituelle de l’activité de la parole de l’auteur qui est présentée comme une vraie langue. Le style est un type du travail de la langue, le mécanisme du fonctionnement de la langue dans la sphère subjective, dans la sphère des émotions humaines, de vives impressions et des humeurs. En général la stylistique et l’essence même du style sont principalement liées à l’aspect communicatif de la langue, au problème de son emploi et de son fonctionnement. D’ici nous pouvons conclure que la couleur stylistique du mot c’est sa valeur stylistique. Par exemple, les archaïsmes peuvent jouer le rôle différent: ironique, sublime, etc. Autrement dit, la valeur stylistique du mot est son utilisation dans une situation définie et langagière avec une couche stylistique (avec une superposition stylistique). A l’Antiquité, cette manière d’écrire fait l’objet d’une étude particulière. La rhétorique chez les Anciens était à la fois un art de l’expression littéraire, un code de règles qui permettait d’apprécier l’art des orateurs et des écrivains. C’est sous cette forme que cette science a été transmise à travers le Moyen âge. Nous voyons que les recherches entreprises par les Anciens avant notre ère, se poursuivent toujours, mais certains principes ont changé. La stylistique a évolué comme toute autre branche de la linguistique. La stylistique structurale: Nouvelle rÈvolution avec l'avÕnement du structuralisme. Les ÈvÈnements dÈcisifs sont contemporains de LÈo Spitzer: formalistes russes Þ l'Èpoque de la 1Õre guerre mondiale, puis "cercle de Prague" entre les deux guerres. Essentiel:
C'est l'application Þ la littÈrature des mÈthodes de l'analyse linguistique: investigation strictement linguistique des oeuvres littÈraires, pour y dÈceler les conditions verbales de la littÈraritÈ. Ce point de vue fonde la stylistique comme discipline autonome par son objet spÈcifique, dont les mÈthodes et les outils sont largement empruntÈs Þ la linguistique:
La littÈraritÈ que l'on cherche = la fonction poÈtique: le message en tant que tel, indÈpendamment de sa valeur et de sa portÈe par rapport au producteur et au rÈcepteur, et mise Þ part toute attention apportÈe soit au rÈfÈrent, soit au fonctionnement du code. C'est Michael Riffaterre qui a introduit ce type d'analyse en France: Essais de stylistique structurale, Flammarion, 1971. Riffaterre a orientÈ l'Ètude stylistique du cÒtÈ du rÈcepteur. Analyse du rÈcit: Barthes, Greimas (schÈma actanciel dans un rÈcit), Genette: typologie des formes narratives. Íå íàøëè, ÷òî èñêàëè? Âîñïîëüçóéòåñü ïîèñêîì:
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