ÒÎÐ 5 ñòàòåé: Ìåòîäè÷åñêèå ïîäõîäû ê àíàëèçó ôèíàíñîâîãî ñîñòîÿíèÿ ïðåäïðèÿòèÿ Ïðîáëåìà ïåðèîäèçàöèè ðóññêîé ëèòåðàòóðû ÕÕ âåêà. Êðàòêàÿ õàðàêòåðèñòèêà âòîðîé ïîëîâèíû ÕÕ âåêà Õàðàêòåðèñòèêà øëèôîâàëüíûõ êðóãîâ è åå ìàðêèðîâêà Ñëóæåáíûå ÷àñòè ðå÷è. Ïðåäëîã. Ñîþç. ×àñòèöû ÊÀÒÅÃÎÐÈÈ:
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Aspect articulatoire. Classification articulatoire des voyelles et des consonnes.L’appareil humain de production sonore peut se diviser en 2 grands sous-systèmes Le système phonatoire permet de vocaliser et ainsi de produire un son de base quon appèlle la voix Le système articulatiore permet de modifier le son de base et de produire ainsi une gamme de sons différents. Le système phonatoire comprend Les poumons aui fournissnet le flot dair nécessaire à la production des sons de la parole. Le larynx – une structure en os et en cartilage – maintiens les deux bandes de tissus élastiques que l’on appèlle les cordes vocales l’espace entre lesquelles est la glotte. Le système articulatoir e comprend La mâchoire inférieure qui peut prendre différents degrés d’ouverture Les lèvres prennent aussi des configuràtions diverses La langue est aussi mobile et se divise en l’apex – la pointe et le dorsum – le dos de langue. Les dents fournissent des lieux de contact pour la langue et pour les lèvres. Les alvéoles fournissent un lieu de contact pour la langue et pour les lèvres Le palais dur – lieu de contact pour la langue Le palais mou / la voile du palais, vélum / est un lieu de contact et un organe mobile qui est soit relevé, soit abaissé L’uvule /la luette / fait de la partie élastique du voile du palais. 4. Aspect articulatoire. Habitudes articulatoire du français. L’appareil humain de production sonore peut se diviser en 2 grands sous-systèmes Le système phonatoire permet de vocaliser et ainsi de produire un son de base quon appèlle la voix Le système articulatiore permet de modifier le son de base et de produire ainsi une gamme de sons différents. Le système phonatoire comprend Les poumons aui fournissnet le flot dair nécessaire à la production des sons de la parole. Le larynx – une structure en os et en cartilage – maintiens les deux bandes de tissus élastiques que l’on appèlle les cordes vocales l’espace entre lesquelles est la glotte. Le système articulatoir e comprend La mâchoire inférieure qui peut prendre différents degrés d’ouverture Les lèvres prennent aussi des configuràtions diverses La langue est aussi mobile et se divise en l’apex – la pointe et le dorsum – le dos de langue. Les dents fournissent des lieux de contact pour la langue et pour les lèvres. Les alvéoles fournissent un lieu de contact pour la langue et pour les lèvres Le palais dur – lieu de contact pour la langue Le palais mou / la voile du palais, vélum / est un lieu de contact et un organe mobile qui est soit relevé, soit abaissé L’uvule /la luette / fait de la partie élastique du voile du palais. D’après Pierre Delattre les caractéristiques du français se résument à «tendances» 1) Le mode tendue. La prononciation des voyalles et consonnes françaises se caractérise par une forte tension articulatoire. Cette tension articulatoire résulte de l’effort déployé par les muscles pendant la production d’un son. Le mode tendu se manifeste dans les systèmes vocalique et consonantique du français absence de diphtongue, car le timbre ne change pas, l’absence de consonnes affriquées, le rythme de la chaîne parlée française est produit par l’égalité des syllabes qui se succèdent. 2) Le mode antérieur. L’articulation française a un caractère antéreiur clair. La plupart des voyelles et des consonnes françaises sont articulées dans la partie antérieure de la bouche.Le mode antérieur peut s’observer dans les mouvements de la langue, dans ceux des lèvres ou dans les deux à la fois. 3) Le mode croissant. Les sons, les syllabes et les unités accentuelles se réalisent généralement avec une énergie physiologique qui commence doucement et s’accroît progressivement – l’attaque douce qui cause l’absence d’assourdissement des sonores finales, la détente des consonnes finales, l’ouverture des syllabes en fran ais, la domination de l’articulation labiale, l’opposition des voyelles nasales aux voyelles orales, l’accent est faible, la palatalisation des consonnes dans un entourage palatal.
5. Aspect acoustique. Le son est une sensation perçue par l'oreille. Du point de vue physiologique le son représente une sensation perçue par l'oreille. L'onde sonore est produite à son tour par un mouvement répété qu'on appelle la vibration. Lorsqu'on évalue un son, ou le fait selon quatre critères: sa durée, son intensité, sa hauteur, son timbre. N’emporte quelle acte du parole représente une processuse complèxe, constituée du plusieurs étapes linguistiques: 1. le locuteur choisit des unités linguistiques et des moyens phoniques. 2. l’étape de l’articulation: drâce au mouvement des organs vocaux il se produit des unités linquistiques. 3. l’étape de la transmission de l’ondre sonore – transmission acoustique, qui a pour source l’activité des organs phonateurs. 4. l’étape de la percetion, qui se deroule chez l’auditeur grâce à l’activité des méchanismes de perception. 5. l’étape, qui conclut le circuit, qui se manifèste chez l’auditeurpar la distinction des untés linguistiques. Voyelles. Selon que les deux formants se trouvent au milieu du spectre pour deux extrémités du spectre nettement séparées, il est possible de classer acoustiquement les voyelles en compactes et diffuses. La distinction entre compactes et diffuses (en termes articulatoires, ouverte et fermées) est une opposition de base du langage humain. Si on prononce successivement les voyelles [i, e, £, a] le formant haut descend et le formant bas monte. Donc les voyelles [i], [e] sont diffuses, [e], [a] sont compactes. On peut observer le caractère différent des voyelles dans la représentation schématique de oeurs formants. En prononçant les voyelles [i, u] on ne modifie pas le formant bas mais le formant haut baisse. On dira que la voyelle [i] a un timbre aigu ou clair, tandis que la voyelle [u] a un timbre grave ou sombre. La distinction entre aiguës et graves (en tarmes articulatoires, antérieures et postérieures) est aussi une opposition de base du langage bumain. Le compact [a] occupe à ce point de vue une place intermédiaire (neutre). Consonnes. Les bruits consonantiques sont différenciés par la concentration plus ou moins grande de l'énergie sonore à différentes zones sur l'échelle des fréquences. Parmi les constrictives c'est le bruit propre à la consonne [s] qui contient les fréquences les plus hautes: jusqu'à 8000-9000 Hz. Les fréquences du [J] sont un peu plus basses: 6000-7000 Hz. On est encore mal renseigné sur la structure acoustique de certaines consonnes, mais ce qu'on sait déjà permet néanmoins de grouper les consonnes en types acoustuques, comparables à ceux distingués parmi les voyelles. Un bruit avec prédominance des fréquences hautes a un caractère aigu, tandis que la prédominance des fréquences basses lui donne un caractère grave. Ainsi, par exemple, le bruit de l'explosion du [p] est plus bas que celui du [t] et par là plus grave. Le [p] est une consonne grave, le [t] est une consonne aiguë, tandis que le [k], sur ce plan, est intermédiaire. Le [s] est plus aigu que le [J] et ainsi de suite. Les consonnes [tj et [p] sont opposées à [k] come diffuses à la compacte. On peut symboliser ces faits par le triangle.
6. La phonétique a quatre aspects, dont les premiers trois (ceux articulatoire, acoustique, perceptif) sont étroitement liés entre eux, tandis que le quatrième, fonctionnel, est considéré comme l'aspect linguistique et appelé la phonologie. La phonologie est une discipline linguistique qui a pour but de déterminer les distinctions phonétiques qui, dans une langue donnée, ont une valeur différentielle (distinctive) et d'établir le système de phonèmes et de prosodèmes. Dans les années vingt du XXe siècle les fondateurs de l'école de Prague (N.Troubetskoy, R.Jakobson et autres) [52] proposent le terme de phonologie et défininissent son objet de l'étude pour le distinguer de celui de la phonétique. Par exemple, MGrammont [23] comprend sous la phonologie les phonétiques acoustique et physiologique générales; d'autres l'identifient avec la phonétique; certains préfèrent le terme phonématique (angl. phonemics) ou phonétique fonctionnelle. À cette époque-là il y a deux points de vue qui reposent sur les divergence de conception concernant la théorie phonologique: celle qui considère la phonologie comme une science à part et celle qui la considère comme une branche de la phonétique. II est nécessaire de mentionner le fondateur de la théorie du phonème B. de Courtenay qui est le premier à proposer le terme de phonème et à formuler l'idée de la séparation nette de la phonétique de la phonologie ce qui est emprunté ensuite par les fondateurs de l'école de Prague. B.Malmberg prétendait «que ce fut une grave erreur de l'école de Prague que de vouloir établir une séparation stricte entre la phonétique - science naturelle qui se sert de moyens instrumentaux - et la phonologie - science linguistique» La théorie d'André Martinet selon laquelle le langage humain est caractérisé par une double ariculation qui se manifeste sur deux plans différents. Selon la prèmiere articulation la chaîne parlée est analysée en unitées successives douées d'un sens et d'une forme phonique. Ainsi la phrase «Il a les cheveux blancs» comporte cinq unités de prèmiere articulation ou monèmes qui coïncident avec les mots dans le langage courant. Les unités de première articulation ne peuvent pas être analysées en unités sémantiques plus petites. C'est la forme sonore de ces unités phoniques qui contribue à distinguer p. ex. cheveux des autres unités comme chevaux, etc. 11 s'agit de la deuxième articulation du langage dont les éléments forment dans chaque langue un système d'unités en nombre fini, connues sous le mon de phonèmes. Le mot pente, par exemple, comporte trois unités successives de seconde articulation, dont trois phonèmes: /p/, là/, /t/. C'est grâce à la deuxième articulation que la langue, utilisant un nombre restreint d'unités discrètes, sert de moyen d'expression et et de communication sans limite. La phonétique et la phonologie ne sont pas deux sciences autonomes et indépendantes. L'étude des faits acoustiques et physiologiques de la parole humaine doit être poursuivie parallèment à l'étude de la fonction des différentes unités et de la structure du système dont on se sert en parlant.
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